azazor

Oren pyr malos!

Sur les encouragements d'ouragant, et après avoir obtenu des réponses à mes interrogations concernant les éclaireurs, je me présente à vous comme postulant.

Mon nom est azazor, fervent patriote fyros et kamiste convaincu. J'ai longtemps erré seul sur atys, jusqu'à rentrer dans la confrérie des flammes, puis chez les fureurs fyros (que j'ai créé). Mais l'inactivité de cette dernière guilde, je pense trop orientée fyros pour attirer les foules, m'a poussé à la quitter pour postuler dans une autre guilde fyros kamiste, plus active. L'ironie de l'histoire, c'est que fatalitas, mon maître, est le frère de mermaidia. Ce serait donc un véritable honneur que de servir au sein d'une guilde dirigée par la sœur de mon maître.

Pour ce qui est de mon engagement chez les kamistes, je pense jouir d'une certaine reconnaissance de la part des kamis (70 de fame). Autrefois très engagé dans les batailles d'avant-poste, les histoires entre kamistes m'ont peu à peu fait douter de l'alliance kamiste. Je reviens petit à petit là dessus, mais je garde encore une certaine opposition au volonté expansionniste de certaines guildes kamistes, que je vois non pas comme un désir de propager le kamisme mais comme un accaparement des terres au profit d'homin se cachant derrière le paravent de la bataille idéologique. Vous l'aurez compris, je ne suis pas un kamiste suiveur, et je tiens à garder ma liberté d'agir ou non.

En ce qui concerne mon engagement dans le sharük, il est total. Je jure fidélité au sharukos, malgré mes doutes sur ses capacités à gouverner et mes réticences sur une partie de sa politique. Mais la discipline fait parti des piliers fyros, que je respecte par dessus tout. Je suis également reconnu par le sharük comme gardien de l'empire

Pour mon aptitude au combat, je maîtrise parfaitement la hache lourde (250 Hache 2M) et travaille actuellement ma magie offensive et ma lance (respectivement 193 et 127). J'aime aussi fabriquer des rondaches, art auquel je m'exerce pour devenir un maître (dans les 140).

En espérant vous avoir convaincu, je vous dis oren fyraï et à bientôt sur l'écorce.

Mermaidia soupira en regardant la pile de documents entassée sur son bureau. Elle s’enfonça au fond de son fauteuil, croisa les bras, regarda son verre puis le snoba. Finalement, elle s’étira, bien décidée à s’y mettre.

Elle attrapa un courrier au hasard. Celui-ci concernait la Route de l’Eau, Ventron s’était proposé pour récupérer les matières des fyros. Bien ! Elle le contacterait très prochainement pour connaître les besoins.
Elle n’affectionnait pas particulièrement cet événement, le trouvant plutôt désuet alors que les fontaines coulaient à Pyr et que chaque ville avait sa propre oasis mais… tradition ! Elle ne pensait pas participer au convoi, trop de mauvais souvenirs, mais elle tenait à s’acquitter de sa part pour les Eclaireurs, au moins pour l’approvisionnement.

Suivant !

C’était un parchemin un peu rugueux mais l’écriture était bien lisible. Azazor…
Elle bu une gorgée de shooki en se massant les tempes, le sommeil la gagnait.
Ah oui ! C’était ce fyros auquel elle avait répondu quelques jours auparavant. Elle lui avait conseillé de côtoyer les Eclaireurs : quoi de mieux pour apprendre à connaître des frères d’arme et lier quelques affinités ? Ils s’étaient revus entre temps et elle en avait également discuté avec Kilvaner : le fyros est prompt à réagir, prêt au combat (elle rit en repensant aux salades) et non dénué d’humour lui aussi !
Il l’avait contactée au sujet de sa gazette ; un projet très intéressant et qui méritait attention.
Si ce n’était son côté anti-matis…
Elle soupira, elle espérait qu’il saurait apprendre à faire la distinction entre un matis ayant un cœur de fyros et l’un des suivants du Karan ou de cette maudite organisation qu’est la Karavan, peut-être que cela viendrait avec le temps…

Elle leva les yeux du parchemin et regarda alentours : Idea mâchouillait tranquillement une tong de grande taille près de l’âtre. Mermaidia rit et fit claquer sa langue, la yubette rappliqua aussitôt en tortillant fièrement du popotin. Elle avait compris qu’une balade l’attendait et tendait déjà son cou à sa maîtresse. Mermaidia fit glisser sa main sur celui-ci pour quelques caresses puis l’invita d'un geste à rejoindre ses genoux. Alors elle prit la plume, annota le parchemin d’Azazor pour informer les siens puis attrapa un nouveau nécessaire d’écriture de sa confection :

Citation :

Elle roula le parchemin, le noua et y apposa le seau des Eclaireurs.
Idea s’était déjà endormie mais ne se fit pas prier longtemps dès qu’elle sentit la main de Mermaidia qui réajustait son collier…

Azazor lu le message de Mermaidia avec attention. Passer plus de temps avec les éclaireurs? ça, il n'y avait pas de problème. Pour l'instant il n'y avait rencontré que des homins sympathiques.
Cependant, il redoutait le moment où il devrait croiser un matis éclaireur, car il savait qu'il y en avait. Aurait-il alors le courage de rester courtois? Oui, ça il le pensait. Quant à considérer un matis patriote comme n'importe quel patriote, ça, c'était une autre histoire. L'éducation de son père là dessus avait été strict: un bon matis est un matis mort, lui répétait-il sans cesse. Cela avait profondément ancré en lui une haine de tous les matis. Il avait beau reconnaître en son for intérieur que la sève qui coulait en nous ne faisait pas tout, il gardait, et garderait probablement à jamais, une méfiance instinctive pour cette race. Il espérait juste qu'il saurait faire abstraction de cela le jour venu.

Il prit de quoi rédiger sa réponse:

Citation :: Oren pyr mermaidia

Je n'ai aucune objection à fréquenter plus souvent les éclaireurs. Comme tu le rappelles dans ta lettre, c'est la meilleur façon d'apprendre à vous connaitre. Aussi, j'ai noté le nom des éclaireurs que tu m'as déjà présenté (forts sympathiques au demeurant) et je n'hésiterai pas à les contacter pour une chasse ou une quelconque activité en commun. Qu'ils n'hésitent pas non plus d'ailleurs!

Oren fyraï, et à bientôt!

Il accrocha le message sur les pattes d'un izam et l'envoya chez Mermaidia. Bah, nous verrons bien, se dit-il.

Kilvaner entra dans le hall de guilde et trouva une lettre d'Azazor. Il la déplia soigneusement et la parcourue du regard.
Il prit quelques secondes pour réfléchir....mais la décision tombe alors ! une décision qui changera en rien sa vie.... il déposa la lettre sur la pile .. XD

manialys rentra au hall puis aperçu la lettre mais ne connaissant pas la reposa sur le tas . Je préfère la laissé a mermaidia . j'ai du lire quelque chose qui n’étais pas pour moi . La route des sources s'est quoi moi je ne connais pas trop se truc il va falloir m'expliqué . car si il faut allez au lac moi j'irais quand les trykers feront des bateau .

Floodeur Débutant Nombre de messages : 8 Date d'inscription : 13/02/2016

C'est chargée de cuirs de Varin* pour les trykers qu'Ocros rentra dans le hall, la yubette à sa mémère comme elle disait eu une fois de plus la mauvaise idée de venir agacer Ocros fatiguée, vérifiant d'un coup d'oeil qu'elle était bien seule, elle renvoya la yubette à l'étage d'un coup de botte, posa les cuirs qu'elle venait de prélever en compagnie d'Azazor et regarda le courrier. La demande d'Azazor lui paru plus que légitime, et elle se réjouit de bientôt le revoir. fatiguée elle ne traîna pas plus longtemps au hall, malgré les demandes répétés de caresses de la yubette.

.

Sans faire de bruit, Idea quittait son nid douillet tout en cuir de varinx et fibre dzao. Elle trouvait que les homins avaient parfois de drôles de toquades mais cela l'arrangeait bien car celle-ci était plutôt confortable !
Lentement, elle montait à l'étage et, sur la pointe des coussinets, s'approchait d'une fyrette endormie. Elle aperçut une dague qui scintillait sous son oreiller de fortune. Elle se ravisa et recula mais c'était plus fort qu'elle ! Alors, prudemment, elle se rapprocha en espérant que la fyrette eût un sommeil plus profond que sa maîtresse. Elle renifla d'abord son oreille, son nez, puis lui lécha la joue juste pour vérifier. D'un bond en arrière, elle esquiva la main d'Ocros qui se frappa violemment le visage. Idea se tapit et observa : le côté gauche du visage de la fyrette était marqué et elle ronchonnait dans son sommeil mais ne semblait pas se réveiller.
La yubette se glissa alors prestement sous la couverture, se frayant un chemin le long des jambes fines de la fyrette. A l'odeur, elle savait qu'elle approchait du but... Loupé ! Les pieds d'Ocros étaient nus !
Idea s'ébroua en sortant de sous la couverture, elle était bien décidée à partir en quête de l'objet de sa vengeance...
Le museau en l'air, puis au ras du sol, elle furetait dans toute la pièce. Là ! Contre le mur !
Elle remua du popotin, sautilla sur place et, ne se laissant porter que par son instinct, elle attrapa la botte gauche dans sa gueule avant de jeter un oeil en direction de la fyrette ; elle ronflait encore. Pourtant Idea préféra descendre d'un étage pour profiter de son festin en toute quiétude, bien au chaud au coin de l'âtre, au milieu de ses cuirs et fibres si gentiment amassés par ses compagnons à deux pattes - pour son plus grand plaisir, pensait-elle...

Message accroché à la porte d'entrée de l'appartement de Mermaidia.

Citation :: Chère Mermaidia

Il est des jours dans la vie d'un fyros où celui-ci doit faire des choix importants. J'en ai fait un le jour où j'ai laissé partir ma fiancée Heline chez les Larmes, me laissant seul avec mes larmes. Ce soir, j'en ai fait un autre, celui de ne pas renier mes convictions pour venir chez vous.

J'ai accepté l'idée de fréquenter des matis. Pourtant, tu sais à quel point je partais de loin. Je t'avoue que cet effort sur moi même m'a fait du bien. Je serais presque enclin désormais à voir Pia, une matis gardienne des fyros, comme une vraie patriote.

J'ai accepté l'idée que cette guilde n'était pas réellement pro-fyros, tant qu'elle n'empêchait pas ceux qui le veulent de l'être.

Mais je ne peux accepter de renier mon amour pour la culture fyros. Porter une tenue officielle non fyros est déjà une aberration pour une guilde se prétendant de civilisation fyros. On ne peut même pas défendre cela par le côté multiracial vu qu'il n'y a pas trace d'artisanat tryker. Et cela devient carrément insupportable si le port de cette tenue est obligatoire.

Vous n'êtes pas une guilde de civilisation fyros. Kamiste oui, je veux bien le croire. Mais pas fyros. Vous ne louez pas allégeance au sharükos, vous ne défendez pas l'artisanat fyros. Pire, vous obligez vos membres à porter une jupe matis. Quelle message donne t on à l'ennemie quand on porte son artisanat? Que la culture fyros ne vaut pas un clou et qu'il vaut mieux s'habiller matis? Etre basé dans le désert ne fait aucunement de vous des patriotes. Tout juste des défenseurs du désert, comme n'importe quel groupe défendrait le lieu où il vit.

Je peux accepter de fréquenter des non patriotes dans une même guilde, et même, je le reconnais, accepter d'être dans une guilde non réellement pro-fyros, car je sais bien qu'en ces temps troublés, la fierté d'appartenir au peuple fyros se fait rare. Ceux-ci préfèrent de nos jours se complaire dans la neutralité. Mais je vous avais prévenu que jamais je ne remettrais en cause mon engagement auprès du sharük et du sharükos pour rentrer dans une guilde. C'est ce que vous avez tenté de faire en voulant me faire accepter cette tenue grotesque complètement vide de sens. Quelle aurait été l'étape suivante? Me demander de choisir entre me plier à je ne sais quelle exigence de votre part ou obéir au sharükos?

Je vous apprécie malgré tout, mais je ne désire plus vous rejoindre et ne vous considère plus comme une guilde de civilisation fyros. Vous n'êtes désormais pour moi qu'une énième guilde basée dans le désert. C'est donc le cœur lourd que je vous dis au revoir à toi Mermaidia ainsi qu'aux éclaireurs que j'ai eu le plaisir de fréquenter. Désolé si je vous ai fait perdre votre temps. Mais j'ai des convictions et elles sont irrévocables.

oren fyraï!

Azazor, gardien de l'empire et fier de l'être

Saphirola se promenait à Thesos. On entendait les voix des Fyros au bar, on voyait les marchands ranger leurs affaires en cette fin de soirée, toutefois encore éclairée par le soleil type du Désert, sa patrie. S'assoyant au bord du pont de Thesos, pieds à l'eau, Saphirola affutait ses dagues. AÏE! Elle s'entailla le doigt par mégarde, chose qu'elle n'avait pas l'habitude de faire.
-C'est la note que j'ai vue flotter sur la porte de Mermaidia, ma cheffe et amie, qui me trouble comme cela...

La Fyros bleue était troublée, oui, par une lettre aussi peu respectueuse envers les valeurs de sa famille. Si une chose était bien claire pour eux, c'était qu'ils défendaient les Fyros, ainsi que les Kamis. Aucun fanatique n'avait porté leur blason depuis bien longtemps, mais les piliers éclaireurs sont restés et resteront les mêmes. Elle avait croisé maintes fois des Fyros à la peau blanche, des petits Fyros, ou même des Fyros bleus, comme elle. Des Homins qui avaient décidé de quitter leur pays natal afin de défendre les convictions du Désert, pour telle ou telle raison. Était-ce la couleur de peau ou les convictions qui définissaient la civilisation?

Les réflexions de Saphirola s'arrêtaient là. Cependant, sous son masque, un visage contrarié se cachait.
-Comment peut-on dénigrer autant une tenue de guilde en la traitant de "grotesque" et "vide de sens"? C'est vraiment un manque de connaissance face à l'histoire des Éclaireurs pour juger selon une jupe d'allure matis. Bon nombre d'Éclaireurs ont emmenés de leurs horizons et de leurs voyages des connaissances qu'ils ont partagé.

Saphirola était aussi déçue. Déçue parce qu'elle croyait qu'Azazor voyait en sa famille des convictions qui lui convenaient. Déçue aussi par le mépris avec lequel Azazor avait décrit sa guilde, sa famille.
Elle rentra donc au hall, où les siens dormaient. Demain serait un autre jour. Un autre jour à se battre pour les Fyros, pour les Kamis. Un autre jour à se battre pour les siens.

laisse une note aux éclaireurs :

Nous n'avons pas à nous expliquer sur la tenue que nous portons. Dexton lui même ne s explique pas sa coiffe ! Mettre en avant les morceaux Tryker ? oui et ? ils etaient présent sur les parties lourde et cette tenue a tellement contribué à notre histoire ... a fouiller dans son sac le pauvre azazor doit avoir des tp kamiste en foret. berrrrk
Nous n'avons pas besoin d'extremiste qui nous porterai que nuisance. Etonnant d'ailleurs d'etre une guilde "banale" mais souvent consulté pour les décisions a prendre pour le désert Wink

Ps : trop de perte de temps j ! et je le regrette fortement pour se voir cracher à la figure de telles inepties par un jeune prétentieux vide de sens ....

Le message d’Azazor lui fit quelque peu froncer les sourcils mais elle souriait en le repliant dans sa poche alors qu’elle repoussait la porte de son appartement.

Mermaidia déposa son sac à l’entrée et retira ses bottes prestement. Elle se dirigea à l’autre bout de la pièce en ôtant ses gants puis se défit de ses manches l’une après l’autre. Elle dégrafa son corsage et déposa le tout sur le tabouret non loin de son lit. Lentement, elle laissa glisser sa jupe le long de ses jambes jusqu’à ses chevilles. Elle la ramassa et la replia sur elle-même avant de la déposer sur la pile.
Enfin elle se glissa sous les couvertures. Un dernier regard en direction du tabouret ; dire que ce petit bout de chiffon était à l’origine de tant de tensions… Puis elle souffla la bougie.

[…]

Le lendemain Mermaidia sentait encore un trouble certain au sein des Eclaireurs, comme si leur honneur et leur fierté avaient été mis à mal. Confiante à son habitude, elle les invitait à faire preuve de tempérance, à rejeter tout excès, et à prendre du recul sur les événements de la veille.

Plus tard dans la journée, elle s'installa à son bureau, prit connaissance de la note de Kilvaner, sourit puis se mit à écrire :

Citation :

Oren pyr Azazor,

De mémoire, la seule personne qui ait pu être irritée par notre « chiffon » c’est le sénateur Abycus Zekops mais tous savent combien il est tatillon, au point de reprocher à un akenak une erreur de qualité sur une paire de manches fyros ! Malgré tout, ça ne doit être qu’un détail pour lui car sa confiance nous est acquise et nous sommes ceux qui en savons le plus sur son histoire personnelle. Il sait qu’il peut compter sur nous à tout moment car nous l’avons toujours soutenu quand bien même ses pairs l’avaient renié avant de le jeter au fond d’une geôle comme un malpropre !

Tu peux nous reprocher ce que tu veux mais tu ne peux pas juger de notre loyauté envers notre Peuple et il n’en reste pas moins que tu trouveras peu de maisons (pour ne pas dire aucune à ce jour) qui peuvent se prévaloir d’une ancienneté telle que la nôtre dans le Désert.

Là où tu n’as pas tort par contre, c’est que nous aurions pu te demander de suivre les consignes de ta guilde plutôt que d’obéir à je ne sais quelle exigence de Lykos. Car nos décisions sont prises en guilde, à la majorité après discussions, et il nous arrive parfois de ne pas aller dans son sens. Peut-être le comprendras-tu à tes dépens si un jour, comme nous, tu le vois accueillir des renégats - jénaïstes par dépit - au poste d’akenak ou partir à la recherche d’un sénateur fyros escorté par quelques suivants de la Karavan portant blason de grandes maisons matisses…

J’espère que tes paroles ont dépassé tes pensées. Si tel est le cas, je peux le comprendre et attribuer cela à ta jeunesse, à de la colère ou tout autre chose. J’espère également que nos relations pourront rester cordiales et que tu trouveras une maison qui te convient sans pour autant avoir besoin de dénigrer les autres sur un apriori.

Maintenant si, comme tu le dis, tu arrives un jour à voir en Pia une vraie Patriote, ce sera déjà une victoire pour moi. Fatalitas, tout vieux fyros bourru qu’il est, lui a accordé sa confiance et le connaissant ça n’est pas rien ! Peux-tu imaginer avec quelle abnégation elle a dû travailler pour en arriver là ?
Le rite est chose bien aisée pour un fyros de sève. Pour tout autre, il lui faut commencer par renier ses origines, les siens peut-être, puis adhérer à de nouvelles valeurs et prouver encore et encore qu’il peut être digne de confiance et loyal !

Oren fyraï Azazor, j’espère que tu ne garderas pas de rancœur envers nous et que le miens sauront en faire autant.
Puissent les vents du Désert te guider et les Kamis prendre soin de toi.

Mermaidia
xxx

Mermaidia posa sa plume et porta ses mains à ses tempes : Combien d’homins ont œuvré pour l’entente entre les peuples, combien de sacrifices ont dû faire les fyros pour y parvenir… La méfiance à la limite mais la haine n’est plus acceptable… Si Dexton n’avait pas été brûlé, il se retournerait dans sa tombe !

Son bol plein face à elle depuis un moment l'appétit n'y était pas elle avait longuement observé la scène
Oura réfléchissais
Le seul truc c’est d’éviter d’utiliser la main gauche. Ça c’est crade!
Ça fait désordre quand on sait que c’est la main dédiée au torchage de fesses…
* Songeuse *
Faire apparaître quelqu’un comme inférieur, méprisable par des paroles comme pour abaissait sa dignité n'est ce pas se retrouver dans la loi animale du plus fort ?!
Mes frères et soeurs mon peuple n'est pas cela Azazor et ne le demande pas de toi !
J'aime pensée que l'Homin est bon et merveilleux mais pas tout hélas.
Un conseil ! trouves-toi une femelle ces pas bons de reste sur le fait que Heline est prefere d'autres personnes, en meme temp je la comprend ...

Sujet: Re: azazor Mer 23 Nov 2016, 16:06

Assumant avec fierté et plaisir ses fonctions d'Officier Supérieur des Éclaireurs d'Atys, Achilleos était occupé à ranger et trier les Archives de la Guilde.

C'est avec étonnement que celui-ci tomba sur un dossier au nom d'Azazor.

- Azazor? Dans les demandes de recrutements? Kilou fait n'importe quoi avec ce classement !

Curieux, le Tryker feuilleta le dossier rapidement et failli tomber de sa chaise. Azazor avait bel et bien proposer sa candidature pour intégrer les Éclaireurs ! Néanmoins, il ne pu contenir très longtemps son hilérité au fur et à mesure de sa lecture.

Essuyant une larme, il rangea le dossier avec les autres candidatures clôturées. Il pris une minute pour frotter vigoureusement son insigne d'Akenak Fyros sur sa robe et le faire briller. Il balanca sa hache ardente sur son épaule et sortit sous le brulant soleil de midi.